Nantes Rennes faire les bons choix
Télé Nantes les transbordeurs aborde la question des synergies entre Nantes et Rennes
http://www.telenantes.com/Nantes-Rennes-vers-quel,39345.html
Ou l 'on voit que les 2 maires défendent de gros projets de Transport qui vont absorber la presque totalité des investissements publics, comme l'aéroport de Notre Dam des Landes, alors que les aéroports de Rennes et d'Angers eux memes déficitaires ne vont pas fermer.
Et un TGV Nantes Rennes en 2025 pour justifier l'aéroport, alors que le Tram Train va bloquer la possibilité d'une liaison courte et rapide par Chateuabriant (voire l 'intervention de la FNAUT).
Cette liaison Rennes Chateubriant existe déjà et d'un coût moindre, de plus elle permettrait de faire un RER Nantes Chateaubriant pour permettre à nos rurbains de pénétrer directement dans la ville de façon bien plus compétitive qu'en voiture.
A noter qu'il eut été plus simple de faire une LGV (Ligne Grande vitesse) par Cholet
qui nous mettrait à 1.30 h de Massy
Que d'argent qui va manquer à la recherche et développement,sachant notre
endettement déjà record.
A mots couverts et polis on comprend que les intervenants Chefs d'entreprise et les autres ... finalement attendent en fait plutôt autre chose, et notamment des transports
inter-régionaux rapides à prix compétitifs (avion cité comme trop onéreux)
Non vraiment la région a mieux à faire et devrait soutenir, nos universités, la recherche, les
synergies avec les PMEs innovantes qui ont souvent du mal à démarer, aider nos
entreprises malmenées par la mondialisation en participant à certains projets ou en
incitant les partenariats avec les grandes écoles.
Rêvons un instant , et si on injectait dans les technos vertes high Tech
l'équivalent des 6 00 000 000 Euros prévus.
(le minimum annoncé simplement pour NDL)
Pour mémoire, la France avec le Grenelle va investir 7000 000 000 E dans le vert,
par contre la Chine dans le meme temps, en équivalent $ , 4 00 000 000 000
On voit que les 2 maires (et les autres aussi d'ailleurs) n'ont absolument pas intégré les
vraies questions du 21ème siècle, la révolution attendue du réchauffement climatique
et du coût attendu des énergies et son impact sur les transports de demain.Ils se projettent
comme dans l'avenir comme un continuum des 20 dernières années.
Par ailleurs on parle de métropole comme dans les années soixante, on refait
du Paris en province, on concentre sur les grandes aglomérations régionales au lieu
de travailler en réseau.